[roadtrip dolomites] Il est de ces jours où ta passion pour les paysages sauvages, ta poursuite d’une émotion particulière dans ton quotidien, cette recherche perpétuelle de l’instant où se sentir vivant, se présentent enfin à toi et se réunissent en un seul sens, une destination … Les Dolomites. Lors du dernier article voyage, concernant ce Road trip Italien dont vous pouvez retrouver la première partie juste ici, je vous laissais à Venise. Ainsi, nous poursuivons ce périple, sur la route des Dolomites, au coeur du Sud Tyrol.
À quelques heures de vol de Paris, une destination encore peu fréquentée par les touristes (durant la période à laquelle je m’y suis rendue) et pourtant … cette région vaut le détour, je vous présente le Sud-Tyrol. Amoureux d’air pur, de paysages sauvages, et de proximité avec la nature, la perle cachée au coeur des alpes italiennes est la destination que vous ne pouvez louper, été comme hiver.
Portée à la fois par ce besoin immuable de m’éloigner du bruit de la vie, de prendre un bol d’air et de faire perdurer ce voyage, nous avons donc décidé de poursuivre notre escapade sur les routes Italiennes. Les Dolomites, et plus particulièrement ses lacs, cela faisait parti de ma TO DO LIST, aux côtés entre autre de l’Ecosse, de la Laponie, de Cosney Island et j’en passe. Alors lorsque nous avons été quelques peu « incités » à nous rendre à Venise, l’occasion fût trop belle pour ne pas faire un détour dans les terres, et enfin nous confronter à la beauté de ces lacs. Au delà des fameux points d’eau, j’ignorais que la région en elle même serait si riche de paysages, de culture et d’histoire.
Suivez nous dans cette fabuleuse épopée au coeur des Alpes Italiennes, pour tutoyer les sommets et les nuances émeraudes de ces lacs parfois ( pas si ) isolés.8h Quitter Venise non sans difficulté, sous une pluie battante et quelques « arnaques italiennes » concernant la location du véhicule ( que la douce Cécile aborde parfaitement dans son passionnant article sur son voyage en Sicile ), pour enfin prendre la route des terres, direction le Sud-Tyrol, ou ce qui sera notre second coup de coeur, de ce voyage Italien.
11h Voir peu à peu le paysage évoluer pour laisser apparaitre les montagnes se dessiner à l’horizon, mais aussi les premiers points d’eau, d’un bleu irréel, aux pieds de ces majestueuses montagnes.
13h Marcher pour atteindre des sommets, jusqu’à en perdre le souffle, prendre conscience de notre vulnérabilité face à cette nature époustouflante, qui peut à tout moment reprendre ses droits. Ne faire qu’un avec elle, pour finalement après 2H de marche éreintantes, découvrir un spectaculaire cadeau . Ces paysages vierges de toute humanité, sont les plus poignants.
Aparté logistique : Nous avons en effet eu la chance, de ne croiser qu’un seul ( adorable/canadien ) couple lors de notre descente, mais aucuns autres signes de vie. Cette ultime chance, nous à permis de vivre pleinement et intensément, ce moment hors du temps comme une véritable expérience. Cependant en période estivale il est apparement préférable de se rendre au Lac de Sorapis tôt le matin, de manière à préserver la pureté du lieu. Pour ce qui est du parking, nous avons pu stationner le véhicule à l’entrée du chemin balisé à quelques 2h de là, ce dernier est assez mal indiqué, et aucun « parking » n’y est dédié. Vous y trouverez cependant de nombreuses possibilité de stationner le long du chemin de randonné, une fois les premiers panneaux croisés.De ce que nous avons pu découvrir à notre insu, il existe deux chemins pour accéder à ce splendide paysage, l’un d’eux est plus simple et balisé mais du coup plus fréquenté que l’autre. Je vous laisse deviner lequel nous avons choisi sans le savoir (oui parce que nous nous en sommes rendu compte une fois en haut…^^) le plus escarpé et le plus long, mais le plus « One again » … De mes diverses recherches avant d’entamer ce périple, il en existe un, bien balisé avec quelques passages abrupts, dont un escalier accompagné d’une cordelette. Nous n’en avons jamais vu le début, nous suivions en effet des balises, mais un éboulement de terrain (ou avalanche) avait du y mettre son petit grain de neige dans le passé, puisque de nombreux arbres jonchaient le sol, tout comme des neiges éternelles mêlées parfois à de la terre. Et c’est peut être la raison de l’absence de touristes durant notre ascension. Quoi qu’il en soit ce fut une expérience hors du commun tant la marche pour atteindre le Graal que le cadeau de mère nature une fois au sommet.
Voici donc quelques images du lac de Sorapis, où une sérénité quasi onirique résidait lors de notre passage. Quand la nature n’a rien de plus à offrir que ces trésors cachés loin de l’homme, encore vierge de toutes transformations: une bouffée d’air pur.
16h L’heure de redescendre doucement, ( ou presque ) puisque les nuages tombaient de plus en plus jusqu’à engloutir complètement les sommets. Je vous passe les rencontres fortuites durant notre périple, que ce soit de petits serpents, des papillons et autre volatiles, cette balade était sous le signe de la Faune et La flore. Rejoindre, alors, la voiture et gagner non loin de là, la route vers San Candido en direction du discret Bed & breakfast Joas. Et entrer enfin véritablement sur les terre du Sud-tyrol, que nous attendions tant.
18h Arriver sur les lieux où nous passerons la nuit, et découvrir un hôtel surplombant la ville, mais aussi et surtout être accueilli par un homme très chaleureux : Mr Joas en personne. S’installer, alors, dans notre chambre, dotée d’une kitchenette, d’une jolie salle de bain, d’un espace de repos accueillant dès l’entrée. La note était donnée, l’hôte met un point d’honneur à ce que le bien être réside dans son logement. Un lieu frôlant la perfection, dans l’expérience qu’il nous propose mais aussi dans la simplicité n’enlevant en rien l’authenticité et l’excellence du service.
7h S’éveiller au rythme du soleil sur San Candido, prendre le temps de déguster le petit déjeuner healhty et complet, sur la terrasse nichée en pleine nature … Cette terrasse riche de ces étendues verdoyantes, cernée de roche offre un paysage matinal des plus apaisants.Se laisser, alors, envouter par la délicatesse de la lumière sur sa peau et de la chaleur d’un café fumant incarnant ma définition du bonheur. Ça ne parait pas, mais je suis présentement très heureuse XD sur cette photo, mais surtout en pleine » imprégnation » de ce moment.
9h Se résigner, alors , à quitter ce havre de paix, un coup de coeur correspondant totalement à nos valeurs. Se conforter encore une fois à l’idée que la simplicité est essentielle, et qu’il ne nécessite pas d’intégrer des adresses de luxe, pour se sentir privilégiés et vivants. Prendre ainsi la route du second lac de notre roadtrip, l’incontournable Pragser Wildsee : Le lac de Braies.11h Arriver au Lac de Braies, et le voir enfin de ses propres yeux, mais ressentir deux sentiments distincts face à ce si célèbre paysage. Etre à la fois séduits par son charme, mais déçus par son aspect touristique et si populaire. En effet, la fréquentation de ce site est telle, qu’il en perds de son charme malgré la beauté de ce paysage.
Au delà de sa photogénie notable, faisant de lui le lac le plus connu de la région ( grâce ou à cause… des réseaux sociaux), le Lac de Braies reste toutefois à voir. Cependant ne vous y méprenez pas, malheureusement il est la destination que nous avons le moins aimé puisque beaucoup trop touristique (bien que nous en soyons également, c’est la toute la complexité de la chose) à nos yeux.
En effet, naïvement nous projetions de revivre la même intensité qu’au Lac de Sorapis face à la beauté de cette eau émeraude, cependant, bien que nous y soyons allé tôt, arrivés sur le parking le ton est donné. Le lac est à quelques mètres d’un parking payant, où la trace de l’homme est beaucoup trop perceptible. Puisqu’en effet ce lieu est véritablement sublime, mais cet amas de touristes mais aussi et principalement de business qui l’entoure, lui ôte une partie de son charme. Comme quoi les photos des réseaux encore une fois peuvent trahir la réalité.
Nous ne nous sommes visiblement pas rendu assez tôt à cet endroit, je vous conseille donc de venir avant 7h si vous souhaitez non seulement observer le lac sous une belle lumière mais aussi éviter le flot de population, le ballet de barques, et de couples capturant le sempiternelle cliché Instagrammable du « follow me »… Bref, c’est ainsi que nous nous sommes éloignés de cette vue la plus connue pour rejoindre les pourtours de ce lac. Malgré le portrait un peu défaitiste que j’en dresse, cela reste une halte obligatoire et d’une beauté à couper le souffle. La ballade ne nécessite pas de chaussures adaptées, elle est très facile d’accès et cela vous prendra une petite heure afin de faire le tour complet du lac. Permettant ainsi de l’observer sous tous ses angles, une chouette balade malgré tout. Vous vous en doutez, cela n’a aucunement affecté notre plaisir de nous balader autour de cet incontournable, mais également de faire de drôles de rencontres, dont je vous parlerais dans un prochain article sur les « Coulisses d’Instagram »
11h S’éloigner du reste de la foule pour prendre un peu de hauteur et s’immerger de sa beauté.
13h Quitter le Lac de Braies, et prendre la direction de Brix 01, un restaurant célèbre par son architecture originale, qu’il m’était inévitable de voir. Halte alors obligatoire dans ce lieu qui confronte une architecture contemporaine à la nature sauvage du parc naturel dans lequel il à élu domicile. Le Brix01, c’est le spot sophistiqué et tendance dans lequel boire un verre. Sa vue panoramique grâce à sa terrasse sur pilotis, vous permet, ( on ne le dira jamais assez ici^^) … une immersion totale.14h Rire et échanger longuement avec les sympathiques serveurs d’un lieu à la hauteur de mes attentes. Nous y avons simplement gouté, mais j’aurais volontiers pris le temps d’y diner. Puisque les lumières évoluent au fil de la journée sur le lac, offrant alors un regard sans cesse renouvelé sur l’architecture . Sur le chemin de Brixen, je vous conseille alors cette adresse. ( un récapitulatif complet se trouve à la fin de l’article :))
16h Se rendre en direction de la ville de … San Andrea (moment de gloire). Pour y poser nos valises pour la nuit dans un lieu que j’étais impatiente de découvrir: l’Hôtel My Arbor. Etre accompagnés durant ce trajet, d’un ciel divin, laissant des lueurs de soleil s’immiscer au travers de ces nuages, digne d’un tableau de Turner. Traverser des paysages dont la densité de sapins s’accentue, pour nous laisser penser un instant à des paysages canadiens, comme toujours l’Europe regorge de paysage dont nous ignorons l’existence. Inutile donc de partir très loin pour se laisser envahir par la beauté d’une nature ornée de sapins… Ce conifère, qui n’est autre que l’emblème de l’hébergement, mais également l’identité même du lieu… le ton est donné.
Entrer alors dans ce lieu et découvrir le vaste accueil, donnant sur un paysage à perte de vue. Le bois est évidement omniprésent et je ne peux qu’en être satisfaite, une odeur de forêt se dégage de ce lieu, vous savez avant même d’y entrer que vous serez coupés de tout durant votre séjour. En effet l’hôtel surplombe absolument toute la ville, plongé en pleine foret, trônant fièrement sur pilotis, il épouse la montagne et tente tant bien que mal de se faire discret.
Puisque l’architecture originale de ce dernier est loin de passer inaperçue, ce qui m’a valu certaines craintes en arrivant sur les lieux, vite estompées par la suite. Après la découverte de l’accueil prendre l’ascenseur pour gagner notre chambre et s’installer dans ce qui fera office de notre cocon le temps d’une nuit. Et je peux vous dire que je ne m’attendais pas à une telle superficie et d’un tel paysage.
S’il y’a bien un moment où je me suis sentie privilégiée mais aussi toute petite, ce fut à cet instant précis. Une gigantesque baie vitrée offrant un spectacle surnaturel sur la forêt nous tendait les bras. J’ai pu ainsi prendre le temps de rêvasser installée au dessus du vide dans cet énorme sofa, invitant au calme et au repos. Vous pourrez évidement gagner le SPA de l’hôtel pour vous prélasser et faire perdurer l’instant détente, avec de très nombreux services proposés.
La découverte de la chambre fût accompagnée d’une lumière si douce et si intense à la fois, offrant un jeu d’ombres et de lumières, redéfinissant ainsi l’environnement dans lequel nous nous trouvions. Un subtil mélange de « dedans/dehors » aussi déroutant que fascinant, permettant alors une immersion totale. Nous sommes très sensibles à la beauté d’un lieu, aux détails subtils et à l’expérience complète qu’il peut nous permettre de vivre. Se retrouver alors entre ciel et terre cette nuit ci, si privilégiés, fut un très bon moment mais surtout une expérience exceptionnelle qu’il nous à été donné de vivre.
20h Ainsi, et pour terminer la soirée en beauté, quelques brasses coulées plus tard, c’est au restaurant de l’hôtel que nous avons ponctué cette riche journée. Et plus particulièrement autour d’un copieux repas, isolés du reste du monde grâce aux larges fauteuils, accompagnés d’un ciel évoluant au fil des heures. Laissant peu à peu la nuit s’installer, les étoiles s’illuminer et les hôtes, apaisés par cet instant, regagner leur chambre.7h Un réveil en douceur dans un lieu digne d’un compte de fée. Quittant les oreillers froissés, symbole d’une nuit apaisante, flâner de bon matin sur la terrasse boisée de l’hôtel encore endormi, avant d’accéder à la salle du petit déjeuner.
Vous l’aurez compris My Arbor c’est le lieu où séjourner, pour se sentir privilégié et coupé du monde. D’autant que c’est le petit nouveau de la région, puisqu’il vient tout juste d’ouvrir, raison de plus pour vous y rendre. Et pour les moins aventuriers, souhaitant profiter pleinement de leur séjour dans ce paradis, un espace bien-être de 2.500 m². vous est proposé.
10h Se retourner une dernière fois pour imprimer la beauté de cette vue, l’heure de notre départ vers le dernier lac du séjour, le Lac de Karersee avait sonné. Arriver sur le parking du lac payant lui aussi, puis prendre le temps de faire le tour durant une petite heure. Entre roches, verdure et eau émeraude, il est le lac le plus contrasté visuellement.
15h Quitter les paysages sauvages pour se diriger doucement vers la ville de Bolzano. Sentir s’amenuir la présence de sapins pour laisser les paysages architecturaux faire leur apparition. Décider sur un coup de tête de se rendre au chateau Maretsch Castle, situé non loin de notre Airbnb . Puis être chanceux de tomber lors d’un jour de représentation médiévale, nous n’avons malheureusement pu capturer ces instants que via quelques videos… retrouvez alors sur Instagram dans un Story à la une, ce moment musical hors du temps.
Se balader alors dans la ville de Bolzano, prendre même le temps de visiter le musée ( curiosité et rires furent au rendez-vous ) puis ne pas voir la journée défiler. Bolzano est une ville charmante, que vous pouvez arpenter à pied, je vous conseille de vous laisser guider à l’instinct, comme je le disais dans l’article sur Venise, c’est la meilleure manière de découvrir une ville.
Pour le quatrième et dernier jour de notre trip, c’est le coeur lourd, passant une dernière fois au travers des champs de vigne, que nous avons finalement quitté la région du Sud tyrol. Ainsi j’ai choisi de me délester de mon appareil pour vivre cette dernière journée, sans ressentir le besoin de saisir l’instant moi qui suis très souvent appareil au point. Voici donc très peu de photographies de la fin de ce séjour, mais je ne vous prive pas de récit ( pardon pour ce roman ).
10H Se réveiller sur fond musical, joué à nos fenêtres par un groupe de rue, quel bonheur de découvrir cette ville qui s’éveillait doucement aux rythme des notes de musique. Décider de faire un dernier tour dans la ville avant de prendre la route de notre dernière destination Verone.
14h Arpenter les rues de la ville, puis se diriger évidement vers les lieux historiques de cette dernière à savoir le fameux balcon de Juliette, les murs taggués qui y mènent ainsi que les divers autres monuments. Mais ne pas pleinement vivre cette dernière journée car nos pensées étaient pour le fabuleux voyage que nous avions vécu et surtout le Sud-Tyrol. Je ne vous cache pas mon coup de coeur pour cette région et du coup ma difficulté à m’immerger pleinement dans la ville de Vérone. Peut être également lié aux attentes que nous pouvons avoir envers ces villes si chargées d’histoire.
19h Trinquer au Spritz, boisson officielle du pays dont nous avons véritablement abusé durant notre séjour, afin de célébrer ces folles vacances, puis dégoter une adresse intimiste dans laquelle nous souhaitions clore ce moment italien. Trouver alors au détour d’une rue ZOO’E, le restau qu’il nous fallait. Pierres apparentes aux murs, fauteuils clubs accueillants, musique jazzy d’ambiance, il n’en fallait pas moins pour me séduire. Rajoutez à cela un serveur passionnant ( et drôle à faire resurgir ces souvenirs d’étude pour tenter d’échanger avec nous dans notre lange ), mais également un risotto somptueux, j’étais conquise . Bref vous l’aurez compris cette journée se termina donc tout en subtilité, par une ballade dans les rues de Vérone encore active pour gagner notre Airbnb (et son balcon auquel je tenais tant).
Prendre ainsi le lendemain la route de l’aéroport pour retrouver la France. Et se dire que Le voyage est sans nul doute une extraordinaire ouverture sur le monde, dont on ne peux revenir en arrière une fois les premiers pierres posées. Ce voyage marque alors définitivement le début d’une histoire que nous écrivons, une histoire qui nous ressemble, celle de notre évasion au quotidien
Cette escapade Italienne n’aurait jamais eu la même saveur sans l’accompagnement de la région Sud Tyrol, avec qui nous avons eu la chance de collaborer pour réaliser cet article. Un énorme merci, pour leur confiance.
—
Votre voyage en quelques chiffres – Recap’ Budget :
Comment se déplacer ? Je vous conseille idéalement la location de véhicules, que nous avons fait pour notre part à l’aéroport de Venise. Comptez pour 4 jours de locations environ 250€ , sans compter l’essence et d’éventuel péages
Pour le chemin emprunté durant notre circuit, nous avons environ déboursé 60€ pour l’essence et 35 € de péage. Donc un total d’environ 300 € pour 4 jours de location de véhicule
Parking lac de braies : 5 €
Parking Lac de Karersee : 2€
Les Spots à ne pas rater :
- Lago di Sorapis,
32043 Cortina D’Ampezzo, ItalieAltitude : 1 923 m . Lac visible après une randonnée d’environ 2h, stationnement gratuit. Prévoir un vêtement chaud une fois en haut, pour se couvrir, et y pique-niquer peut être envisageable.
- Tre Cime de Lavaredo, les fameuses rocheuses
-
Lago di Braies / Pragser Wildsee, lac facile d’accès, avec accès au parking payant, comptez environ 2h de balade pour faire le tour
- Lac de Karersee, Carezza
39056 Nova Levante, Bzn, ItalieAltitude : 1 519 m, lac facile d’accès, avec parking payant , comptez environ 1h30 de balade pour faire le tour
- Lac de Caldaro proche de celui de Karersee , esprit méditerranéen
- Refuge Obereggen
Où Dormir:
- Seehof Nature Retreat
- Miramonti boutique hotel
- SAN LUIS RETREAT HOTEL
- Adler
- L’Hotel Citta
- Laurin
- 12 Suites
- Hôtel Irma
- Ottmangut
- Mirror Housses
Récap’ programme :
Ça se passait aussi sur Instagram
Vous pouvez aussi entrer dans cette parenthèse sur Facebook, Instagram, Pinterest &Twitter. Et retrouvez par ici, mon dernier Livre » Les workshops Nature » de la Délicate Parenthèse
Pour tout projets farfelus, créations & partenariats de folies, et que vos demandes correspondent à l’esprit de La Délicate Parenthèse, je serais ravie de collaborer avec vous. Je n’attends que vous, vos concepts et votre créativité! Ensemble on va faire de chouettes projets, vous allez voir, n’hésitez plus et envoyez moi un mail à ladelicateparenthese{@}gmail
17 Comments
MILLA
septembre 6, 2018 at 11:13 amSympa cet article, le 2eme que je lis sur les Dolomites qui ont l’air fabuleuses ! C’est clair que l’afflux de touristes m’effraie carrément, du coup si je le fais un jour, j’irais hors saison, voir carrément en hiver !
Je pensais que les barques étaient interdites mais on peut les louer pour se balader sur le lac ?
Andréa
septembre 6, 2018 at 11:52 amMerci beaucoup, ravie que Les Dolomites t’attirent, alors très honnêtement en pleine semaine en Juin nous avons eu peu de monde, avec parfois beaucoup de chance en effet. Mais c’est vrai qu’en plein mois d’aout c’est une destination beaucoup plus fréquentée.
Tout à fait, les barques sont à louer sur le lac de Braies ;)
Cosmic Sam
septembre 6, 2018 at 9:02 pmDes paysages vraiment magnifiques!
Andréa
septembre 7, 2018 at 4:57 pmOhlala mais tellement, un réel bonheur ;)
Marine
septembre 7, 2018 at 2:13 pmJe rêve de découvrir les Dolomites depuis des années. Tes photos sont splendides. La couleur de l’eau est incroyable et se mêle à merveille avec le gris des rochers.
Bravo pour cet article très complet, j’y repenserai en temps voulu :)
Andréa
septembre 7, 2018 at 4:58 pmMarine, merci beaucoup ;) je suis ravie de t’inspirer et de pouvoir d’une quelconque manière participer à ton futur voyage dans cette région ;) je t’y encoure pleinement c’est un vrai coup de coeur … fonce ;) Merci en tout cas pour ton gentil mot
Anaïs
septembre 11, 2018 at 12:22 pmCa donne tellement envie!!! Merci pour cet article, tu m’as convaincu! :)
Quels sont les températures au mois d’Octobre? Penses-tu qu’on peut autant en profiter qu’en Juin?
Andréa
septembre 11, 2018 at 5:01 pmMerci beaucoup Anais, ravie que ça t’ai convaincue ^^
En octobre je pense que les températures avoisinent les 5 degrés, c’est pas bien chaud, mais les paysages doivent être sublimes.
La saison hivernale se lance ensuite avec les sommets enneigées, et je ne sais pas si la destination est très fréquentée mais je pense que c’est une destination prisée pour le ski .
Octobre doit vraiment être une belle période .
nathalie
septembre 14, 2018 at 10:47 amTellement inspirant, merci pour cette petite parenthèse.
Ca m’a subjugué!
Andréa
septembre 21, 2018 at 7:22 pmOh merci beaucoup, merci .
Je suis ravie que l’article te plaise et que cette destination t’inspire ;) je t’encourage à t’y évader vraiment^^
campone
novembre 27, 2019 at 12:32 pmFin juin et septembre/octobre conviennent mieux, car c’est moins cher et juillet et août sont blindés: le monde entier s’y retrouve !
Andréa
décembre 4, 2019 at 10:43 amComplètement, je m’y suis rendu en Juin, et nous avons eu beaucoup de chance, après c’est apparemment l’enfer en terme de tourisme. J’adorerai le faire de nouveau en Octobre plutôt.:)
campone
mai 31, 2020 at 11:36 amLe massif des Dolomites italiennes UNESCO est vaste puisqu’il s’étale sur 3 régions d’ouest en est: la région autonome du Trentin-Haut-Adige (provinces de Bolzano et de Trente), puis la région Vénétie (province de Belluno), enfin la région autonome du Frioul-Vénétie julienne (provinces d’Udine et de Pordenone).
Cette dernière partie orientale, les Dolomites frioulanes est moins connue des francophones, moins touristique, plus basse, plus sauvage, moins chère. On y parle l’italien et le frioulan.
Ses centres sont Forni di Sopra, Sauris, Claut, Tramonti, Barcis et Piancavallo.
campone
juillet 11, 2020 at 1:00 pmVos derniers récents retours éventuels?
campone
janvier 9, 2021 at 12:30 pmRien de neuf depuis l’automne 2020?
Andréa
janvier 11, 2021 at 10:46 amRien de neuf à mon grand désarroi en terme de voyage, puisque de nombreux projets gelés, mais l’aménagement complet d’un van, afin de pouvoir voyager davantage, Tu peux découvrir la totalité de ce projet sur mon instagram. Je n’ai pas encore dévoilé le résultat final;)
campone
mars 23, 2023 at 10:22 amEnfin depuis 2022, deux guides touristiques francophones sur les Dolomites italiennes UNESCO:
« Dolomites Alpes italiennes » chez Petit Futé,
« Dolomites » chez Lonely Planet,
qui couvrent bien l’entièreté du massif, d’ouest en est, dans les 3 régions bien distinctes:
-la région autonome du Trentin-Haut-Adige,
-la région Vénétie,
-la région autonome du Frioul-Vénétie julienne.